Apocalya
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilEntréePortailDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -55%
Coffret d’outils – STANLEY – ...
Voir le deal
21.99 €

Partagez | 
 

 Caewyr - chronique de l'apocalypse.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Kibô Mitsumaru
ll ~> Survivant VIP <~ ll
Kibô Mitsumaru

Masculin Poissons Chien
Messages : 459
Calyas : 10886
Age : 30

Nom : Kibô Mitsumaru
Âge : 21
Taille : 1m74
Race : Humain
Localisation : Mitsumaru ne cesse de voyager, que ce soit dans les pays enneigés ou les déserts, en passant par les forêts et les plaines.
Pouvoir(s) : Stopper le temps à sa guise, mais dix minutes tout au plus, et en contrepartie, son espérance de vie diminue à chaque fois qu'il utilise son pouvoir d'un nombre d'heures consequent.
Affinités : aucuns
Topics Rpg : • Côte Est - Los Angeles Dazio et Angela

Caewyr - chronique de l'apocalypse. Empty
MessageSujet: Caewyr - chronique de l'apocalypse.   Caewyr - chronique de l'apocalypse. Icon_minitimeMar 12 Jan - 15:20

recueil de témoignages de l'apocalypse - archives de la grande bibliothèque de Caewyr.

écoutez: https://www.youtube.com/watch?v=1ITqS0mdj-o&feature=rec-r2-2r-7-HM
"hellynea sawaliih elfe fille noble 10 ans.

cela faisait une journée que la terre tremblait. papa et maman étaient agités. les serviteurs couraient dans tous les sens. j'avais entendu dire que le haut conseil avait été réuni. je ne savais pas bien de quoi il s'agissait, il semblait que c'était une assemblée de gens qui décidait de ce qu'il fallait faire. a un moment, papa et maman m'ont appelée dans l'entrée de derrière du manoir. papa était en train de mettre son armure. maman avait l'air triste. quand je suis arrivée, elle a détourné la tête. puis elle m'a regardé et elle a dit d'une voix faible:
"il faut que tu nous promette de rester ici, a l'abri."
puis mon père a rajouté:
"nous seront bientôt de retour, c'est promis.
-ne te fais pas de soucis, nous reviendrons,ajouta ma mère.
-pourquoi? qu'est-ce qui se passe? demandais-je.
-rein de grave. répondit-elle le regard vide, puis elle le leva sur moi. tu dois rester ici et nous attendre. promet-le moi.
-d'accord. dis-je.
-tu ne dois pas sortir, surtout pas. rajouta papa.
-oui, oui je sais, je suis une grande fille maintenant.
-...
-nous reviendrons vite ne t'inquiète pas, c'est promis."
ajouta maman en aidant papa a attacher son plastron de cuir décoré de feuilles d'or et gravé de chants ancien, qui porte chance, me disait souvent maman.
soudain, une servante arriva en se hâtant.
"les chevaux sont scellés, maître, maîtresse."
dit-elle.
je ne comprenais pas pourquoi elle parlait de chevaux puisque papa et maman allaient revenir vite. mais une partie de moi me disait que c'était faux. la terre qui tremblait, les cris qu'on entendait les rares fois où l'on ouvrait les fenêtres, tout ca semblait cacher quelque chose. et maintenant voila que papa par sur son cheval et tenue de combat, épée a la ceinture, la même épée et les mêmes habits qu'il a prit il y a longtemps pour aller en voyage avec plein de messieurs de la ville habillés comme lui, la même fois où maman a passé son temps a pleurer. j'ai appris plus tard qu'on appelait ca partir a la guerre, mais ca papa et maman ne le savent pas. au retour de papa maman l'a pris dans ses bras et elle était contente. comme si quelque chose aurai pu arriver a papa.
"vous partez a la guerre?"
demandais-je curieuse et fière de leur montrer le nouveau mot que j'avais appris sans eux.
mais il ne dirent rien. j'aurais voulu qu'ils me félicitent d'avoir appris un nouveau mot, mais ils sont restés silencieux. maman a même baisse le regard et a commencé a pleurer. papa l'a prise dans ses bras en lui caressant la tête, puis il m'a dit d'un air triste:
"oui, c'est ca. tu est une grande fille maintenant. tu connais beaucoup de choses. maintenant, il est temps pour nous d'y aller. tu dois rester ici et nous attendre sagement, nous reviendront bientôt, c'est sûr, c'est même certain. ne t'inquiète pas.
-et quand vous reviendrez, je serai contente comme maman quand tu est revenu d'être partit a la guerre? demandais-je. j'aurais du être contente que papa ma félicite, mais quelque chose m'en empêchait, je ne savait pas quoi.
-oui, c'est ca. tu sera heureuse et nous aussi..."
dit-il.
puis ils s'en allèrent.
par la porte, j'ai aperçue des gens courir et crier. j'ai aussi cru voir au loin un morceau de rocher tomber du plafond de la plaine. mais c'est impossible, j'ai du rêver.

quelques heures plus tard, rico est venu.
rico est un garcon avec qui je joue souvent. on a le même âge. il est gentils avec moi.
mais cette fois, il ne parlait pas. il avait l'air froid et dur. j'ai demandé a sa servante pourquoi, elle m'a répondu que ses parents étaient partit comme les mien, en me regardant comme si j'étais bizarre de demander ca. elle a tourné la tête quand rico a levé le regard sur elle. j'ai pris une petite statue de cheval en argent et j'ai commencé a jouer avec. puis j'ai demandé en rico en souriant.
"toi aussi tes parents ils sont partit a la guerre? comme les miens!"
il s'est levé en me regardant méchamment; j'ai eu peur et j'ai cru qu'il allait me taper.
il a donné un coup de pied dans mon cheval et a dit:
"ton cheval, il est mort!
-hein?! non! pourquoi? m'écriais-je.
-tu ne comprend pas?! c'est ca! la guerre!!"
a-t-il ciré.
au début je n'ai pas compris. j'ai dit:
"hein? alors les chevaux de papa et maman ils vont mourir? non! je veux pas! je les aime beaucoup!"
rico m'a regardé comme s'il me détestait et est sortit de la piece.
alors j'ai compris. papa et maman allaient être comme le cheval. morts.
j'ai soudain été envahie par quelque chose que je ne connaissait pas. un sentiment différent de la tristesse ou du bonheur. quelque chose entre la surprise et la tristesse. je ne savait plus quoi dire. je me suis allongée sur le ventre et j'ai fais la morte. je suis resté comme ca pendant plusieurs minutes. puis, je me suis mis a rire.
"ha ha ha... c'est ca être mort? alors ce n'est pas grave, il n'y a rien de triste, c'est comme dormir... oui, papa et maman vont bien, rien de grave..."
mais je ne savait pas pourquoi, je ne pouvais pas m'empêcher de pleurer. la servante m'a trouvé allongée, pleurant, et elle m'a demandé ce qu'il c'était passé. je lui ai raconté tout. alors elle m'a prit dans ses bras et elle m'a murmuré:
"c'est faux, horriblement faux..."
c'est vrai, papa et maman ont dit qu'il rentreraient bientôt, et quand papa est partit a la guerre, il est revenu, pourquoi papa et maman mentiraient? c'est rico qui a menti. je le déteste, il m'a mentit et m'a rendue triste. mais quand je l'ai dit a la servante, elle m'a dit qu'il ne fallait pas lui en vouloir. alors, le soir, je lui ai demandé pardon et j'ai joué avec lui. mais les tremblements de terre continuaient. et puis, j'ai entendu des chants ancien, c'était beau. j'ai aussi entendu des cris. beaucoup de cris. j'ai dit a la servante que les gens étaient malheureux, qu'il fallait les consoler et j'ai demandé pourquoi ils étaient malheureux. la servante m'a répondu que ce n'était rien de grave. j'avais raison finalement, ce n'est pas grave, c'est comme être mort, pas grave...
le lendemain, cela faisait trois jours que la terre tremblait. j'avais entendu quelque chose de lourd se casser sur le toit du manoir, plusieurs auparavant aussi d'ailleurs. mais les servantes disaient que ce n'était pas grave et que le manoir était de toute façons très solide.
malgré le fait que papa et maman m'avaient dit de ne pas m'inquiéter, je trouvait ca bizarre. pourquoi les gens criaient dehors? quelqu'un leur avait fait mal ou les embêtait? finalement, alors que tout le monde était occupé, sans rien dire a personne, je suis allé chercher papa et maman.
quand je suis sortit, ce que j'ai vu m'a terrorisée. les gens couraient dans tous les sens en criant. les maisons étaient détruites, les autres enfants pleuraient. les gens étaient blessés. le plafond et les murs de la plaine s'écroulaient. je me suis demander si c'était ca, la guerre. alors j'ai demandé a quelqu'un qui passait, boitant, appuyé sur un morceau de bois, avec le tête et le bras bandés:
"est-ce que c'est ca la guerre?
-non, c'est bien pire que la guerre."
m'a-t-il répondu."
Caewyr - chronique de l'apocalypse. Lastsc10

écoutez: https://www.youtube.com/watch?v=1ITqS0mdj-o&feature=rec-r2-2r-7-HM
"eidan syanetyr elfe soldat 21 ans.

je n'était qu'un jeune soldat. lorsque la terre a commencé a trembler, que les parois ont commencées a s'effondrer, que les animaux domestiques ont commencés a s'affoler, nous crûmes d'abord avoir affaire a une simple secousse. mais cela durait plus que prévu. au bout de deux heures, les gens commençaient a s'affoler. des débris de la voute de gemma phos se détachaient et tombaient. puis,au bout d'un jour, les habitants étaient en panique, des blocs de pierres avaient détruits des habitation et tué des gens, il y avait de nombreux blessés, les gens commençaient a fuir la ville. je n'avait ni femme ni enfant. je vivait a la caserne je n'avait de soucis que pour une personne. un haut conseil eu lieu. le conseil finit par supposer que c'était une attaque de lypérias délétères ou d'autres créatures impies. alors, l'armée fut appelée. d'abord, nous aidions les personnes et nous essayons de solidifier les parois et la voute qui s'effondraient sur les gens terrorisés qui fuyaient pour la plupart vers le sud, pour brillaphos. je voyait les gens courir, les maisons s'effondrer, les enfants pleurer. ceux-là, je leur demander où ils habitait et s'ils ne savaient pas, je les emmenais dans les abris sous la ville, qui tenaient mieux que ceux a la surface. bientôt, les caves et les reserves de la villes furent pleines, entres les immenses piliers sculptés de plusieurs dizaines de mètres de haut s'entassaient des milliers de blessés au milieu des cadavres de ceux qui venaient de mourir et qu'on allait bientôt emmener dans d'autres salles où ils seraient congelés en attendant d'être inhumés. puis, au bout d'un certain temps, nous sortirent des murailles de la ville pour établir un campement a l'extérieur. en effet, les secousses avaient finit par diminuer. le conseil en déduit que les ennemis voulaient détruire la ville puis attaquer. nous fûmes donc installés au pied des murailles. ils étaient fiers, nos quatre milles fantassins et deux milles cinq cent cavaliers. pour certains c'étaient leur premier combat, j'étais des leurs. j'étais cavalier de caewyr. nous étions en train de sceller les chevaux pour partir en expédition dans les sous-terrains de pégaïs en vue d'ennemis quand un cheval arriva au galop jusqu'à nous. il portait sur son dos son propriétaire, mutilé et méconnaissable. il était mort il y avait très peu de temps, a peine quelques minutes. nous abandonnâmes alors la mission d'expédition et commençâmes tous a mettre nos armures et a monter nos chevaux. soudain, un vacarme incroyable s'éleva des sous-terrains. les chevaux commencèrent à s'affoler. nous formâmes alors une ligne de front. puis, tout a coup, une énorme masse noire se déversa des entrailles de la terre. s'était une horde d'animaux déchainés et hors de contrôle. des animaux affolés et fonçant droit sur nous. les chevaux avait peur, nous dûmes les maintenir en position. a mesure que les animaux s'approchaient, le vacarme grandissant emplissait nos longues oreilles a l'ouïe si fine. les chevaux s'affolait de plus en plus. "gardez la positon!! restez en ligne!!! ne rompez pas la formation!!" criait-on ça et là. le généraux hurlaient de contenir nos chevaux.
les hordes d'animaux avalaient les centaines de mètres de la plaine entre caewyr la grande et les sous-terrain de pégaïs. nos chevaux devenaient fous. j'avais peur. peur que mon cheval me renverse a terre, et de me faire piétiner par nos chevaux et les hordes sauvages qui se ruaient sur nous. les chevaux ne tenaient plus en place. il nous était de plus en plus difficile de les contenir. les premières montures repartirent en arrière. les chevaux affolés passèrent entre les fantassins a l'arrière, qui avaient changés leur formation a la vue de la horde sauvage, adoptant une position destinée a contenir les assauts de cavalerie, laissant passez nos cavaliers sur leurs chevaux terrifiés. j'avais peur, j'aurai voulu fuir comme nos montures, laisser mon cheval reculer, m'emmener loin d'ici. mais bientôt, nous entendîmes le fracas des sabots des chevaux qui se jetaient de tout leur poids sur l'immense et imposante porte de la cité. un vacarme indicible nous emplit alors les oreilles tel un tambour immense et maléfique. le bruit chaotique de la grande porte me rappela que derrière ces murs que nous protégions, elle était là, attendant dans la peur et le chaos. alors, je retint mon cheval encore plus fermement, l'empêchant de fuir, m'empêchant de fuir. les portes s'ouvrirent et laissèrent passer les cavaliers qui revinrent a pied grossir les rangs des fantassins. mon cheval commençait a faire quelques pas en arrière, malgré les étriers. alors, j'entamai un air ancien, un chant mineur que l'on apprend aux soldats, pour me redonner du courage et calmer mon cheval. beau coup de cavaliers me suivirent. derrière, les fantassins avaient aussi entamé un autre chant. au sommet de la centaine de mètres de muraille qui encercle la cité de caewyr la grande, derrière les archer qui tendaient leur cordes, prêts a tirer, les femmes avaient également commencé a chanter un air majeur. malgré le fait que tous ces chants soit différents, leur ensemble formait une harmonie puissante et imposante. les chevaux commencèrent a se calmer. mais les bêtes en fureur continuaient leur route. la horde était toute proche. en face de nous. la peur me nouait l'estomac, mas je continuait de chanter.
alors on cria. " en avant!!" et tous nous tirâmes sur les rennes de nos destriers. tous les chevaux cabrèrent et foncèrent sur la horde monstrueuse. nous nous ruâmes toute lames dehors dans l'infini chaotique océan de rage porteur de désastre. les deux fleuves se heurtèrent avec une puissance démentielle et nous traversâmes un torrent de sang et de fureur. beaucoup tombèrent de cheval et moururent écrasés par les sabots de leurs propres chevaux mêlés aux membres lourds et puissant des créatures en tous genres. c'était la première fois que je tachait de sang l'épée que mon père m'avait offert avant sa mort, et du sang de nos confrères. a l'arrière, la horde démesurée de bêtes se rua sur nos lignes des fantassins. les formations se brisèrent, les bêtes ne contournant même pas les positions des soldats. les soldats furent écrasés et les bêtes empalées. les chant ne résonnaient presque plus qu'a l'arrière, en haut des murs. sur l'espace entre la cavalerie et les fantassins, il pleuvait sur les bêtes un orage de flèches sifflantes. quand a nous, nous foncions éperdument dans l'océan de griffes, de muscles et de crocs. mais bientôt le jour nous revint a travers le sombre chaos de poussière et de rage. nous vîmes la fin de ce torrent furieux et affolé. l'espoir regagna alors nos coeurs meurtris par la fureur et la folie du massacre aveugle et insensé. mais nos âmes retombèrent dans le chaos infernal et ténébreux quand nous vîmes que des deux milles cinq cents cavaliers fiers et courageux, il ne restait plus qu'une pauvre centaine d'hommes mutilés et invalides montés sur des cadavres vivants boiteux et éraflés par les crocs froids et sombres de la mort. nos chevaux n'avaient presque plus de force et l'utilisait pour tenter de s'enfuir. mais mon âme frustrée et endolorie se remémora Son sourire. derrière les murs elle était là, et elle allait bientôt connaitre la bête par le biais d'un fleuve aux griffes pleines de sang. alors je me remit a chanter. un air majeur cette fois. mes compagnons se mirent a chanter avec moi. de l'autre coté du torrent, ceux qui subsistaient encore et avait encore assez de force reprirent notre air. je fit faire demi-tour mon a cheval. il faisait marche arrière mais je le retenais. et, tous ensemble, nous nous jetèrent une fois de plus dans le fleuve infernal. je voyais défiler les mâchoires puissantes et trempées du sang de mes camarades, les yeux pleins de rage qui brillaient d'une lueur rouge, reflétant ma lame maculée. soudain, dans cet océan de muscle et de poussière. une lueur traversa les ténèbres. un trou dans le nuage de poussière qui faisait pleurer mes yeux autant que mon épée le faisait. alors, je levai les bras au ciel, tentant d'attraper cette douce lumière bleue qui m'inondait depuis la voute, qui semblait s'effondrer avec mépris sur nos corps meurtris par le sang de nos confrères. mais soudain, tout s'arrêta, mon cheval tomba a terre et j'entamai une longue chute qui se prolongeait dans les ténèbres de mon esprit qui s'en allait. j'avais perdu connaissance.
quand je repris connaissance, je fut horrifié. il y avait du sang partout. j'avais perdu mon bras gauche, celui-ci gisait a coté de moi, baignant dans mon propre sang mêlé a la terre et a celui de mes confrères. j'étais allongé au milieu des corps inertes de mes compagnons et des imposants cadavres aux mâchoires encore pleines de sang de mes confrères. un mélange boueux de sang et de corps recouvrait la pleine. soudain, son visage me vint a l'esprit. alors, dans un ultime effort je me retourna. je constatai alors avec soulagement que la grande porte antique qui veillait depuis des millénaires sur la plaine, maintenant empreinte du sang et du chaos, était encore debout devant la grande cité de caewyr.
je me relaissai tomber sur le coté, au milieu des monticules de chairs et de sangs. alors, j'aperçus mon épée. la lame magnifique aux gravures anciennes et nobles était maculée de sangs purs et immondes. une larme coula le long de ma joue gauche, puis une autre sur ma joue droite. sans en comprendre la cause mais en connaissant la raison, je pleurais."
Caewyr - chronique de l'apocalypse. Lastsc11

écoutez: https://www.youtube.com/watch?v=1ITqS0mdj-o&feature=rec-r2-2r-7-HM
"ciel dylanae elfe garçon noble issu de milieu moyen(petite bourgeoisie) 12 ans

cela faisait deux jours que la terre tremblait, nous étions partis a la fin du premier. nous fuyons vers le sud. pour quitter la cavité par brillaphos et rejoindre ramacittà en empruntant pégaïs et donc en faisant un détour. cela était dangereux mais moins que d'emprunter le nord de pégaïs qui ou se trouvait caewyr et donc le présumé siège que l'on fuyait. quand a passer par yeliwen, le fait que des lypérias impurs y vivent faisait peur aux adultes. je me fichais d'où on allait de toute façon, car hana y allait aussi. hana est une fille du même âge que moi. elle est pleurnicharde et fragile et je dois donc la protéger. je me le suis juré quand son grand frère est mort. il s'appelait sélémyr. je ne le connaissait pas, a vrai dire ca remonte a juste après ma rencontre avec hana, mais hana tenait beaucoup a lui. lorsque je l'ai rencontrée pour la première fois, elle pleurait. elle pleurait parce que son grand frère était malade. alors je lui ai dit qu'une fille qui pleurait ne pourrait jamais sauver personne. et elle encore plus pleuré. finalement je lui ai dit qu'elle pouvait pleurer, car je la protègerai. ma famille avait en effet une affaire avec la sienne et nous nous voyons souvent. finalement. je crois que j'ai fini par m'attacher a cette pleurnicharde.
la terre tremblait. nous traversions la vallée a la hâte. de peur que la voute s'effondre sur nous. après quelques jours de marche, nous arrivâmes éreintés, fatigués et sales, nos vêtements étaient en lambeaux, personne n'aurait pu croire que nous étions nobles. nous pourrions donc difficilement entrer a brillaphos. mais devant la ville minière, nous perdîmes espoirs, les lieux étaient dans le même état que caewyr lorsque nous l'avions quittée. personne prêtait attention a nous, a part les soldats qui se méfiaient de nous comme de la peste. nous crûmes finalement que nous devrions passer par yeliwen. mais hana entama un chant majeur. alors, les soldats reconnurent notre origine noble et nous laissèrent entrer. dans la ville c'était le chaos. nous n'avions pas vu de lieu habité depuis caewyr, alors brillaphos nous paraissait horrible, mais sûrement caewyr devait être hantée par un chaos semblable. je demandai a hana où et-ce qu'elle avait appris le chant majeur qu'elle avait chanté tout à l'heure. la mélodie était si douce et apaisait les cœurs meurtris et fatigués. elle me répondit que c'était sa mère qui le lui avait enseigné. j'allais lui demander de chanter pour moi, mais on nous dit que l'on allais repartir et pénétrer les sous-terrains de pégaïs. les hommes avaient récupérés des épée, ceux qui en avait déjà leur enseignaient quelques passes. on me donna aussi une lame. elle était bien trop longue et lourde pour un enfant comme moi, mais je l'acceptai, sans, je ne pourrais pas protéger hana dans les sous-terrains, habités de quelques monstres informes et impies. je n'avait jamais fait couler de sang, mais j'étais prêt a le faire, pour protéger hana. nous commençâmes alors a nous enfoncer dans les ténèbres de pégaïs. seul la lueur bleue de l'eau nous éclairaient. je marchait derrière hana. je pouvais voir, malgré la faible lueur, sa nuque sous ses cheveux relevés. les reflets bleutés rendaient sa peau encore plus sublime. les gens derrière nous dirent de mettre quelque chose, car on allait attraper froid avec l'humidité ambiante. je lui répondit avec un certain aplomb:
"un guerrier de caewyr la grande qui a quelque chose a protéger ne prend pas froid."
je donnai par contre le large manteau a hana. elle le mit. je ne voyais plus sa nuque.
le chemin était encore long et je m'ennuyait. alors je commença un chant de courage, un air mineur. hana me suivit avec son chant majeur. puis les gens derrière et devant nous commencèrent aussi a chanter. l'ambiance se réchauffa peu a peu. puis au bout d'un moment, les adultes commencèrent a parler. ils parlaient de tout et de rien. l'un raconta comment il avait crée son commerce, l'autre nous conta les aventures de son grand-père, un autre encore nous raconta une vielle légende. après quelques tergiversions a propos de mythes et de légende, un homme en vint a parler, on ne sait comment, de caylan. tous s'arrêtèrent. l'homme se tût. un autre repris après un peu d'hésitation, une légende que je ne connaissais pas. il parlait d'un mythe qui remontait, d'après lui, a avant même la création de caewyr la grande ou même la naissance de la terrible nox obscura. d'autres l'approuvèrent et fournirent plus encore son récit. selon ce mythe, il existait un autre monde. un monde dont les habitants cohabitaient avec nous il y a des milliers d'années auparavant. ce monde était bizarre, car au lieu d'avoir une voute, il y avait une rivière énorme au plafond. une rivière qui ressemblait a ce qu'ils appelaient l'océan. un torrent, de l'eau a perte de vue. il n'y avait donc pas de parois et un océan au plafond. je dis a l'homme que cela était insensé et qu'une chose pareille était impossible, l'eau tomberai, mais il répondit que personne n'avait jamais touché cette eau là et que ce n'en était peut-être pas. cela était bleu comme de l'eau. l'homme se risqua a remuer le fond de la rivière avec le bout de son épée, en disant:
"tiens, comme cette eau là!"
heureusement, aucune créature n'était cachée sous la vase.
je maintenait le fait que c'était impossible malgré tout, que l'on avait jamais vu autre chose qu'un plafond au plafond.
"ha! ha! rajouta-t-il. et ce n'est pas tout, ils appelaient ca: ciel."
je stoppa net. hana s'arrêta et se retourna.
"ciel?! tu rigoles! c'est mon nom!"
dis-je, surpris.
"non, répondit-il. ta mère t'a appelé comme ca a cause de tes yeux et de cette légende.!"
en effet, j'avais les yeux aussi limpides que l'eau de la rivière de pégaïs.
"mais tout de même, ajoutais-je. de l'eau au plafond, c'est impossible!
-ah! peut-être maintenant, mais avant ca l'était! même que parfois elle tombait! elle tombait, mais il en restait encore!
-arrête de dire n'importe quoi, si elle tombait, comment pouvait-il en rester? quand bien même elle tenait là-haut, il y avait bien un plafond. elle se viderait donc bien un jour!
-eh non! elle était infinie! parce qu'il n'y avait pas de parois! on racontes même que si l'on marchait suffisamment longtemps, on finissait par revenir au point de départ.
-mensonge! il n'existe de tel lieu!"
hana se mit a rire légèrement.
je la regardai en faisant la moue, puis reprenais:
"même s'il y n'y a pas de parois, l'eau ne peut pas être infinie, leur plafond devait être creux, comme la rivière. dis-je en montrant du doigt le cours d'eau qui ne s'appuyait contre aucune paroi.
-l'eau tombait quand même, et il y en avait toujours. répondit l'homme en soupirant.
-en effet, reprit-il, c'était toujours bleu là-haut, et des fois il y avait des îles de neige qui passait. l'eau tombait en général a ce moment-là.
-alors ca explique tout! la neige fondait! mais ce n'est pas l'eau du ciel qui tombait!
-tu as peut-être raison... au milieu de l'eau il y avait une toute petite boule de feu, aussi...
-non mais là c'est trop! du feu dans l'eau! comment veux-tu qu'on te croit?
-si, si! une boule de feu! c'est ce que dit la légende...
-bon, admettons et donc ce serait cette boule de feu qui faisait fondre la neige?"
hana suivait notre conversation d'un air passionnée. elle semblait impressionnée par mes réflexions. cela me rendait mal à l'aise, mais j'étais fier. je me rendit compte que tout le monde nous écoutaient.
"ce doit être ca...répondit l'homme.
-bien sûr que c'est ca! quoi d'autre sinon? les bougies de ceux qui habitaient dans ce monde?
-ha ha! peut-être bien... en fait, les gens aimaient quand l'eau tombait...
-ce doit être drôle d'être trempé sans tomber dans un lac...
-comme tu le dit... mais l'eau qui tombait arrosait les champs, c'était un avantage... l'eau fertilisait les sols et nettoyait les chemins.
-et comment appelait-ils ca? le lac du plafond?
-ha ha! non, ils appelaient ca, la pluie."
dit-il.
ce nom me paraissait joli. de toute façons, moi, je m'appelais bien ciel.
"-les gens aimaient beaucoup la pluie, elle était porteuse de chance et de bonheur, pour eux. continua-t-il.
-c'est si bien que ca de recevoir de l'eau sur la tête sans rien demander? moi, si quelqu'un me fait ca, on va s'expliquer dehors... dis-je.
-et bien, ils avaient l'air de plus aimer ca que toi. répondis l'homme en riant."
nous approchions d'eowelle. mais nous étions du mauvais coté. en effet, nous longions le bord rocheux, a l'opposé de la plage. il était inconcevable de traverser pour rejoindre l'autre rive, nous continuâmes donc en nous taisant, pour être a l'affut des bruits de l'eau, et d'éventuelles créatures. nous montions soudain une côte d'une vingtaine de mètres au dessus de l'eau. le passage était assez serré et nous marchions les uns derrière les autres.
soudain, la terre se mit a trembler. une forte secousse fit vibrer les parois qui s'effondrèrent. nous étions plaqués au parois. la voute commença aussi a s'effondrer. des gens tombèrent.
"attention!!"
criait-on ca et là.
"AAAaaaaah!!"
cria quelqu'un derrière moi. je pris peur. c'était la voix d'hana.
je me retournai brusquement. j'attrapai la main d'hana en posant un genoux a terre.
"merde! tiens bon!!"
criais-je. je n'avait pas assez de force. je tournai le regard vers les adultes, mais ils étaient déjà occuper a sauver leurs propres personnes. j'essayais de tirer hana sur le bord, mais en vain. les vibrations du sol me déséquilibraient. les adultes étaient en panique. hana pleurait.
"ne t'inquiètes pas! je vais te sortir de là! je te protégerai! je l'ai promis, non?"
dis-je a hana.
mais soudain, un énorme bloc de pierre se détacha de la voute et emporta hana avec lui.
je n'en revenait pas. je ne comprenait pas ce qu'il se passait.
"ha... hanaaaa!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!"
criais-je.
je sentais encore la chaleur de son poignet dans ma main. je tombai sur le coté, allongé par terre. je pleurais. ne savant que penser. hana. elle n'était plus là? non c'était impossible. elle était encore là quelques secondes avant... pourquoi n'aurait elle pas eu le temps de me dire aurevoir? la reverrais-je seulement un jour? je ne comprenais pas. je ne voulais pas comprendre que c'était fini. je ne voulais pas que cela finisse. mes larmes coulaient sans s'arrêter. je voyais la voute s'effondrer, les parois s'abattre sur la magnifique plage en face de moi, plage qui étincelait d'un bleu doux et éclatant. un spectacle si beau... pourquoi hana n'était-elle pas avec moi pour le regarder? et après, on aurait chanté... je ne sais combien de temps s'écoula. mais a un moment, une lumière blanche perça la voute.une voute qui n'était plus qu'a deux mètres au dessus de moi. un amas de débris descendait du trou dans la voute jusqu'au fond de la rivière. une nouvelle cavité? peut-être hana était-elle là-haut... pensais-je, refusant qu'elle soit partie. alors je me mis a ramper. il n'y avait plus personne autours de moi, tout le monde avait disparu, sans que je m'en rende compte, pendant que je regardais cette plage bleue. je rampais, remontant les deux mètres qui me séparaient de la nouvelle cavité, dans l'espoir de retrouver peut-être hana. mais quand j'arrivai enfin a l'air libre, rien de ce que je pensais n'était là. le feu. il y avait le feu. des manoirs bizarre de plusieurs mètres de hauts, effondré ou en flamme. et des gens. il n'avait ni l'air d'elfes, ni de chimériens, ni d'anges ni de quoi que ce soit. ils étaient comme des elfes, en plus petit avec une peau moins blanche, un visage plus grossier et des oreilles comme celles d'un ange, petites. ceux d'entre eux qui me voyaient prenaient peur et me fuyaient en cirant:
"se... ses oreilles... qu'est-ce c'est? un ... un monstre!!! au ... au secours!!!!"
je ne comprenait pas ce qu'il se passait. pourquoi avaient-ils peur de mes oreilles? n'avaient-ils jamais vu d'elfes? soudain, je me rendit compte que quelque chose était bizarre. il n'y avait pas de voute ni de parois dans cette cavité. juste du noir au plafond. j'ai un instant pensé au mot ciel. mais le ciel n'était-il pas bleu? brusquement, quelque chose se mit a tomber. de l'eau! c'était incroyable! était-ce bien la le ciel? et ca, était-ce de la pluie? alors la légende que m'avait raconté l'homme était vraie? mais soudain, mes plaies me firent mal., ca me brulait. puis tout mon corps me faisait mal. ca venait de l'eau. je voyait les gens autours de moi crier et courir. alors c'était ca, la pluie? celle que les habitants de cet endroit étaient sensés aimer? celle qui apportait fertilité et bonheur? non... je ne pouvait pas le croire... je me mit a l'abri dans le trou ouvert sur pégaïs. pégaïs... c'était chez moi... je commençais a regretter caewyr la grande, si merveilleuse et magnifique, grand et belle... je ne voulait pas quitter nos cavités. je restait, adossé a une pierre, contemplant ce lieux si bizarre. je restait bien a l'abri dans pégaïs la bleue... là, je n'avait pas a craindre cette "pluie" ni ce "ciel". l'homme s'était d'ailleurs trompé, le ciel était couvert de neige noire, entièrement..."
Caewyr - chronique de l'apocalypse. Lastsc12
Revenir en haut Aller en bas
http://www.peaceandmercenaries.forumactif.com
Eanna
ll ~> Administrateur <~ ll
Eanna

Féminin Scorpion Coq
Messages : 606
Calyas : 11215
Age : 30

Nom : Eanna Lycaea
Âge : 17
Taille : 1m61
Race : Fille Louve
Localisation : Au coeur de la tempête, portée par des courants aériens, à la poursuite de nouveaux horizons.
Pouvoir(s) : Du fait de ses origines atlantes, Eanna est en réalité dotée de deux apparences : celle d'une humaine et celle d'une louve Alpha blanche (c'est à dire d'une créature colossale). De plus, elle est capable de se changer en courant d'air.
Topics Rpg :
« Enfants du Ciel »
▪️▪️▪️ Elphos

« Photomaton et fraternité » ▪️▪️▪️ Godan
« Le meilleur des mondes » ▪️▪️▪️ Aliénor
« Un scintillant morceau de réalité... » ▪️▪️▪️ Le Chevaucheur d’Ombre et de Lumière

4/4 : Saturée !



Caewyr - chronique de l'apocalypse. Empty
MessageSujet: Re: Caewyr - chronique de l'apocalypse.   Caewyr - chronique de l'apocalypse. Icon_minitimeMar 12 Jan - 18:24

    Ce sont de très belles histoires et les dessins sont superbes ! Bravo à toi ! C'est très représentatif de l'Apocalypse ! Mais pourquoi as-tu posté ça dans "Evènements" ?
Revenir en haut Aller en bas
Kibô Mitsumaru
ll ~> Survivant VIP <~ ll
Kibô Mitsumaru

Masculin Poissons Chien
Messages : 459
Calyas : 10886
Age : 30

Nom : Kibô Mitsumaru
Âge : 21
Taille : 1m74
Race : Humain
Localisation : Mitsumaru ne cesse de voyager, que ce soit dans les pays enneigés ou les déserts, en passant par les forêts et les plaines.
Pouvoir(s) : Stopper le temps à sa guise, mais dix minutes tout au plus, et en contrepartie, son espérance de vie diminue à chaque fois qu'il utilise son pouvoir d'un nombre d'heures consequent.
Affinités : aucuns
Topics Rpg : • Côte Est - Los Angeles Dazio et Angela

Caewyr - chronique de l'apocalypse. Empty
MessageSujet: Re: Caewyr - chronique de l'apocalypse.   Caewyr - chronique de l'apocalypse. Icon_minitimeMar 12 Jan - 18:46

ben au début je voulais faire genre un article de journal ou quelque chose dans le genre, mais il n'y a pas de apocalya time, alors ... comme en plus dans la description du sujet événement y'a marqué qu'on entre dans un kiosque abandonné et qu'on lis les journaux parterre...(suis-je le seul a avoir lu les descriptions?)
Revenir en haut Aller en bas
http://www.peaceandmercenaries.forumactif.com
Eanna
ll ~> Administrateur <~ ll
Eanna

Féminin Scorpion Coq
Messages : 606
Calyas : 11215
Age : 30

Nom : Eanna Lycaea
Âge : 17
Taille : 1m61
Race : Fille Louve
Localisation : Au coeur de la tempête, portée par des courants aériens, à la poursuite de nouveaux horizons.
Pouvoir(s) : Du fait de ses origines atlantes, Eanna est en réalité dotée de deux apparences : celle d'une humaine et celle d'une louve Alpha blanche (c'est à dire d'une créature colossale). De plus, elle est capable de se changer en courant d'air.
Topics Rpg :
« Enfants du Ciel »
▪️▪️▪️ Elphos

« Photomaton et fraternité » ▪️▪️▪️ Godan
« Le meilleur des mondes » ▪️▪️▪️ Aliénor
« Un scintillant morceau de réalité... » ▪️▪️▪️ Le Chevaucheur d’Ombre et de Lumière

4/4 : Saturée !



Caewyr - chronique de l'apocalypse. Empty
MessageSujet: Re: Caewyr - chronique de l'apocalypse.   Caewyr - chronique de l'apocalypse. Icon_minitimeMar 12 Jan - 18:51

    (Ca me fait plaisir vu que c'est moi qui les ai faites x) )
    Je vais plutôt déplacer ça dans le musée du forum. En fait, la partie événement sert aux admins à communiquer aux membres les différents événements du forum, justement.
Revenir en haut Aller en bas
Kibô Mitsumaru
ll ~> Survivant VIP <~ ll
Kibô Mitsumaru

Masculin Poissons Chien
Messages : 459
Calyas : 10886
Age : 30

Nom : Kibô Mitsumaru
Âge : 21
Taille : 1m74
Race : Humain
Localisation : Mitsumaru ne cesse de voyager, que ce soit dans les pays enneigés ou les déserts, en passant par les forêts et les plaines.
Pouvoir(s) : Stopper le temps à sa guise, mais dix minutes tout au plus, et en contrepartie, son espérance de vie diminue à chaque fois qu'il utilise son pouvoir d'un nombre d'heures consequent.
Affinités : aucuns
Topics Rpg : • Côte Est - Los Angeles Dazio et Angela

Caewyr - chronique de l'apocalypse. Empty
MessageSujet: Re: Caewyr - chronique de l'apocalypse.   Caewyr - chronique de l'apocalypse. Icon_minitimeVen 15 Jan - 13:35

euh... c'est moi ou personne a part eanna a lu? c'est peut-etre du au deplacement, les gens le voient peut-etre comme "lu"...
Revenir en haut Aller en bas
http://www.peaceandmercenaries.forumactif.com
Dazio Ferreus
ll ~> Survivant <~ ll
Dazio Ferreus

Masculin Capricorne Cochon
Messages : 348
Calyas : 10660
Age : 28

Nom : Dazio Ferreus
Âge : 21
Taille : Deux mètres
Race : Elfe
Localisation : Dernier étage d'un building. Los Angeles.
Pouvoir(s) : Chants magiques elfiques.
Topics Rpg : ♦️ Côte est - Los Angeles Dazio, Angela et Kibô.

Caewyr - chronique de l'apocalypse. Empty
MessageSujet: Re: Caewyr - chronique de l'apocalypse.   Caewyr - chronique de l'apocalypse. Icon_minitimeVen 15 Jan - 18:49

En fait ya aussi ceux qui ont la flemme de lire des trucs aussi longs parce que ils ont d'autres choses a foutre XD

(comme moi j'avoue ù_ù)
Revenir en haut Aller en bas
http://peaceandmercenaries.forumactif.com/
Heath Luminarc
ll ~> Nouveau <~ ll
Heath Luminarc

Masculin Lion Cochon
Messages : 19
Calyas : 10555
Age : 28

Nom : Heath Luminarc
Âge : 21
Taille : 1m60
Race : Humain
Localisation : Quelque part a la surface
Pouvoir(s) : Maitrise les ondes lumineuses

Caewyr - chronique de l'apocalypse. Empty
MessageSujet: Re: Caewyr - chronique de l'apocalypse.   Caewyr - chronique de l'apocalypse. Icon_minitimeSam 23 Jan - 0:19

A ce que je vois tu fais toujours dans l'humour. Ou sinon j'ai pas encore tout lu mais c'est nickel.
Revenir en haut Aller en bas
Godan
ll ~> Administrateur <~ ll
Godan

Masculin Balance Coq
Messages : 545
Calyas : 11025
Age : 30

Nom : Godan
Âge : 25
Taille : 1m55
Race : Chimérien
Localisation : Falaises d'Etretat, France
Pouvoir(s) : Il contrôle la gravité et l'attraction terrestre mais celle-ci ne peut se faire que sous certaines conditions.
Affinités : Eanna: Soeur

Topics Rpg : ♦️ Photomaton et fraternité Pv Eanna
♦️ Journée d'hiver ensoleillée Pv Sen
♦️Dans l'enfer blanc Pv Aliénor

Caewyr - chronique de l'apocalypse. Empty
MessageSujet: Re: Caewyr - chronique de l'apocalypse.   Caewyr - chronique de l'apocalypse. Icon_minitimeSam 23 Jan - 0:23

Ba moi je viens de lire, et c'est génial!!!!
Un kiosque pour apocalya... Genre Métalia TV? Faudrait faire, faudrait faire...comme sa on pourrait rassembler l'arene, RPG + et sa dans une partie distincte!
Revenir en haut Aller en bas
http://metalia-rpg.forum-actif.net/forum.htm
Contenu sponsorisé




Caewyr - chronique de l'apocalypse. Empty
MessageSujet: Re: Caewyr - chronique de l'apocalypse.   Caewyr - chronique de l'apocalypse. Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Caewyr - chronique de l'apocalypse.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Apocalya :: ♦ Rpg :: RPG+ :: Le kiosque-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit